Reborn Origins
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 My dear blood... [PV Appollo & Nelia]

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Liberta Midnight

Liberta Midnight

|| Je t'observe ʕ •ᴥ•ʔ
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► Flamme: Tempête
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MessageSujet: My dear blood... [PV Appollo & Nelia]   My dear blood... [PV  Appollo & Nelia] Icon_minitimeSam 19 Nov - 2:56

One, two, three ...

L'Italie, magnifique pays qu'est l'Italie, certaines personnes y vont pour Venise, Rome ou autre ville on ne peut plus connu que ces deux là. Mais d'autres personnes y vont pour X raisons noirs; des raisons sombres et infâmes tel les insomnies du cœur de l'être Humain. Qui n'en a jamais eu ne serait-ce qu'un instant ? Un trouble émotionnelle ou bien une action peut provoquer le changement total de l'esprit de l'Homme; et malgré ce fait jamais personnes ne désir le montrer, ils veulent amadouer les autres pour pouvoir mieux les tuer après. Ou alors, ils font semblant d'être méchant alors que sous leurs carcasse de glaces se trouvent ce que les êtres humains nomment cœur et âme.

Elle était là, assise sur un banc dans le parc d'une ville comme une autre, une demoiselle qui se fichait d'un rien comme de tout; une des ces êtres humains cachant leurs véritables personnalités. On ne pouvait pas dire qu'elle était belle mais on ne pouvait pas dire que son âme était laide, c'était une sorte de juste milieu dans son corps; une harmonie entre le physique et le mental qui pouvait être bouleversé en quelques minutes... Enfin, si ce n'était pas déjà fais.

Ses cheveux roses allaient et venaient de droite à gauche à cause du vent; ne sachant pas trop comment se positionner et donnant une sorte d'effet non-coiffée à la jeune demoiselle; son nom était d'ailleurs un nom peu prisé dans l'Italie : Liberta Midnight. C'était une jeune New-yorkaise, une fille comme les autres; ou du moins presque. Elle n'était pas ce genre de fille a penser à son physique et sa façon de faire; c'est pour dire qu'elle ne parlait même pas d'hommes avec ses « amies », ou du moins, elle ne montrait aucun intérêt à ce sujet.

On pourrait croire qu'elle n'aime rien et que rien ne l'aime, mais ce n'est pas le cas, loin de là. Son centre d'intérêt principal était ce qu'on appel le rouge. Mais pas n'importe quel rouge; un rouge cerise: un rouge sanglant. Oui, elle aime la couleur d'un des composants de l'être humain : Elle aimait autant entendre le bruit des os se briser sous les coups qu'on leurs donnaient un peu trop fort dans l'abdomen. Et cette chair n'était pas assez tendre pour elle; elle en désirait plus : beaucoup plus et c'est pour ça qu'elle désirait un jour retirer la peau d'un être humain; hélas elle ne se sentait pas encore capable de faire un tel acte malgré le faite qu'elle ai tué depuis tout ce temps: depuis son enfance, depuis son passé, depuis les chapitres passé de son histoire dans ce monde si cruel qu'était celui de la mafia.

Alors elle rêvasse ; elle rêve dans monde sans limite, un endroit où la terreur régnerait et où le crime ne serait plus punis par la loi : un endroit de liberté. Elle s'abandonne doucement à cette idée qui lui semble si belle, c'est une sorte de joie pour elle, un rêve qu'elle sait impossible mais qui lui donne la force de sourire. Alors elle continue d'y penser : une minute, deux minutes, trois minutes … Et la quatrième n'arriva pas.

La rosette c'était relevé de son banc et s'étira calmement et d'une façon monotone : elle ne savait pas trop quoi faire et s'ennuyait à mourir. Alors pourquoi pas bouger un peu ou bien faire du tourisme dans cette ville ?

Elle marche ; court ; trottine et sautille. Elle en sourirait presque : elle en serrait véritablement capable si elle s'amusait véritablement. Car oui, toutes ces actions étaient encore et toujours un masque. Elle ne désirait vraiment pas qu'on la dévisage, qu'on la trouve bizarre car elle n'aime pas cette magnifique journée. Alors elle faisait semblait d'apprécier comme ci de rien n'était. Elle va et ne revient pas à l'endroit d'où elle est partie. Et personne ne s'en rend compte : c'est parfaitement ce qu'elle désirait.

Et puis elle se stop net.

Elle regarde cette rue avec deux trois boutiques, elle voit le trottoir et les vendeurs, personne n'y fait attention à cette petite gamine au sol. Dire que cette blondinette pleur à chaudes larmes et que personnes ne s'en rends comptes. Comme si c'était totalement normal devoir une petite fille pleurait en plein milieu d'une rue piétonne. Poussez par une raison inconnu, Miss Midnight se dirigea vers elle, comme si elle la connaissait. Elle ne savait pas vraiment quoi faire pour cette jeune demoiselle, elle ne savait même pas ce qu'elle avait : mais d'un certains côté, elle ne voulait pas la laisser seule comme elle l'avait été pendant son enfance.

    « Hey ; petite, qu'est-ce qui ne va pas ? »


Elle penche la tête à droite, poussant ainsi ses cheveux de son visage et regardant le visage humide de la petite gamine aux yeux bleu. Et dire que cette enfant ne trouve rien de mieux que de s’arrêter de pleurer pour la regarder avant de reprendre de plus belle ; la vie était vraiment mal faîtes.

    « Heu … S'il-te plaît, ne pleur pas ; dis moi plutôt ou est ta mère … »


Elle pleure toujours, tu continus d'essayer de lui parler mais ça ne change rien du tout ; mais alors vraiment rien. Elle continue de pleurer. Et entre deux larmes tu entends des mots ; des mots que la rosette n'a pas l'habitude d'entendre … Ou plutôt un mot que Liberta n'as pas entendu depuis des siècles. Ce mot, elle ne l'a jamais aimé, enfin si un jour c'est arrivé, il est partie depuis bien longtemps. Ce mot n'est autre que le mot maudit pour elle ; le mot commencent par un N... Le mot n'est autre que Nounours, c'est à dire un ours en peluche ou bien la marionnette de bonne nuit les petits. C'est horrible à entendre, n'est-ce pas ?

Mais bon, elle a tout de suite compris que cette gamine pleurait à cause d'une histoire d'ours en peluche : intéressant n'est-ce pas ? La gamine & l'ours, ça pourrait faire un disney parfait … Ou du moins une reprise de la Belle & la Bête. Donc bref ; Liberta allait devoir se séparer de quelque chose qu'elle avait gardé pour sa propre face mais tant pis … Elle n'aimait pas voir pleurer cette gamine et c'est pour ça qu'elle sortit de sa poche un paquet d'arlequin qui mit sous le nez de la gamine. Vraiment ; elle n'aimait pas la voir pleurer d'une façon si pertinente.

    « Dis moi ce qui c'est passé et je te donne le tout. »


La blonde s'arrête. Elle regarde le paquet de bonbon avant de sécher ses larmes sur ses manches puis relève la tête et sourit. Un sourire angélique … Qui aurait pus l'être encore plus si elle n'avait pas de la morve qui lui coulait du nez. C'était très … « mignon » ? Enfin bon, l'importance c'est qu'elle allait parler.

    « Bah mama elle est partie acheter à manger mais vu qu'elle ne rentrait pas à la maison, je suis partie la chercher avec Boobie mais il c'est fait attraper par un chien alors une madame est venue elle a l'a rattrapé et lorsqu'elle a voulut me rendre Boobie, des types sont venues et ils lui ont dit des choses louches donc Boobie n'est plus là et il est mort en même temps que la dame. »


Perdue. Voilà ce qu'était Liberta. Une dame qui voulait sauver une peluche d'un chien c'est fait tuer avec la peluche après s'être fait aborder par des types louches ? Mais.. C'était quoi encore ce bordel ?

    « Boobie ? C'est ton ours en peluche Boobie ?
    -Non ; Boobie c'est Booooobbbbbbbiiiiiiieeeee. »


Elle tire la langue à la criminelle qui se retient de ne pas la tuer ; elle lui pique même le paquet de bonbon des mains et se met à courir très long en criant très fort.

    « J''ai des bonbons-euh ; j'ai des bonbons-euh !
    -Hey, mais attends ! Où sont ces types et cette femme ? »


Elle rigole doucement et pointe son doigt vers une pancarte avant de partir en rigolant et acclamer les arlequins qu'elle avait dans les mains. Choquée ? Oui, Liberta l'était. C'était peut-être même à un niveau supérieur vu cette gamine au caractère de feu. Et puis, elle ne lui avait pas véritablement répondu : elle lui avait juste montré un pancarte... D'ailleurs, qu'elle était cette pancarte ? Elle s'approche pour voir, se mouvoit pour apprendre ; observe pour comprendre. C'est un panneau sur un journal.

Il magazzino abbandonato è davvero diventato il covo di una banda?


Elle décide d'utiliser ses connaissances en Italien pour traduire ceci, qui donna d'ailleurs quelque chose comme : « L'entrepôt abandonné est-il vraiment devenu le repaire d'un gang ? ». Si c'était bien ce qui était écrit sur le panneau, alors il y avait de grande chance que ce soit là-bas. Elle prend donc un calepin et note l'adresse dessus, c'est partie pour se la jouer justicière.

Elle se dirige donc là-bas. Le temps passe, dix minutes, quinze minutes vingt … Et trente. Elle prit trente minutes pour y arriver. Que ne fallait-il pas faire pour passer le temps ? Ne demandez surtout pas à Liberta, elle n'a strictement aucune limite. C'est une sorte de nouvelle voiture : plus tu lui mets de l'essence, plus elle avance. Sauf que là c'est plus elle s’ennuie, plus elle avance en direction d'un passe temps.

Elle entre dans la bâtiment par derrière ; elle ne c'est pas caché. La suite ? Vous la connaissez fort bien. La pauvre petite Lib' tue encore, et ceci devant les yeux de la femme qui a du sauver l'ours en peluche de la gamine. Et voilà. C'est aussi simple que ça, pas besoin d'en décrire plus que ça. Seul un fait compte : il ne reste plus que ces deux là.
How many are dead ?
Spoiler:


Dernière édition par Liberta Midnight le Sam 14 Jan - 6:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: My dear blood... [PV Appollo & Nelia]   My dear blood... [PV  Appollo & Nelia] Icon_minitimeLun 19 Déc - 6:41

Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas, il parait. J’aurais volontiers écrasé l’orteil de l’auteur de cette phrase le jour maudit ou il l’a prononcé pour la première fois. C’est faux, et ceci est prouvé par un principe simple mais tellement banal qu’il en devient presque parasitaire, la monotonie. Trois jours… cela faisait maintenant trois jours que je n’étais pas sorti de chez moi a cause du mauvais temps. La pluie n’avait eu de cesse de tomber pendant soixante douze heure d’affilées et tout en ville était donc resté fermé en attendant peut-être un miracle ou a défaut une accalmie salvatrice.

De ce fait, je ne pouvais donc cautionner ces paroles inutiles et vides de sens. C’était à mes yeux un peu comme l’expression « Tout les gouts sont dans la nature. » Non, pas d’accord non plus. Dans ce cas là, ceux qui on choisit d’être mafieux l’on souvent fait par choix donc par gout pour le milieu –si l’on ne me compte pas dedans bien sur – alors pourquoi est-ce qu’on les persécute –et moi le premier -de la sorte ? Tant de questions pour peu de réponses, comme d’habitude. Je soupirais, pour changer. Même les pastas de ma mère me laissaient un gout amer en bouche, c’est dire ! Il faut croire qu’une captivité de cette teinte ci ne me convenait clairement pas et que j’avais le besoin viscérale de sortir m’aérer… Mais hors de question d’aller me mouiller sous ce rideau aqueux qui m’aurait terrorisé plus qu’autre chose. Ainsi je m’étais résigné à retourner me coucher, seule chose que j’étais en mesure de faire un tantinet correctement ces derniers temps. Mon patron m’ayant appelé pour me dire que la boutique était inondée et qu’il était donc inutile de passer jusqu'à ce que les nettoyeuses soient intervenues, je ne pouvais même pas espérer aller me changer les idées au travail.

De retour sous ma couette, je me rendormis bien plus vite que je n’aurais jamais pu l’imaginer. Pourtant je n’étais pas spécialement fatigué… sans doute le fait d’être constamment blasé tirait sur mes réserves sans que je ne m’en aperçoive ? Je ne saurais le dire pour être franc. La seule chose que je sais, c’est que ce fut ma mère qui vint me tirer d’un sommeil mi-profond mi-comateux pour me signaler qua pluie avait cessé et que les rues devenaient de nouveau praticable. Ni une ni deux, je me suis empressé de m’extirper de mes draps puis me suis habillé avec autant de conviction qu’un soldat prés à partir en guerre pour défendre sa nation. Il était nécessaire, non même pas…. Il était vital que je sorte, que je m’aère l’esprit, que je pense à autre chose que ces mauvais souvenirs d’autrefois qui ne faisait rien de plus que me miner le moral bien comme il le fallait alors que je n’avais pas que ça a faire. Déprimer ne me tentant pas, autant aller observer la vie du quartier en mettant le nez dehors.

Vêtu d’un simple jean bleu délavé et d’une chemise blanche aux finitions noires, je me surpris moi-même à ne pas avoir si froid que cela. C’est vrai que maintenant que la pluie s’était stoppée définitivement, le ciel revêtait un habit bleu d’une rare pureté sur lequel le Soleil pouvait étendre sa toute puissante chaleur. Fermant les yeux, je savourais la sensation que me procuraient ces rayons tant attendus. Les rues de Rome étaient encore humides mais d’ici quelque heure, au vu de la force de l’astre du jour, toute cette tempête ne serait plus qu’un mauvais souvenir et la vie reprendrait donc son cours le plus normal qui soit.

Sauf qu’aujourd’hui, bien que je ne le sache pas encore a ce moment ci de mon récit, ça n’allait pas être une journée normale, comme toute les autre, comme elle aurait du l’être. Et non évidemment ! Un mafieux avec une vie simple de toute manière ça n’existe pas, même en cherchant bien ! Je ne vois même pas pourquoi je m’étonne au final, depuis ma naissance ma vie a été préprogrammée pour attirer les ennuis et autres trucs symboliquement liés à l’illégalité du même genre. Vraiment parfois… merci papa de m’avoir apporté cet héritage dont je ne voulais pas. D’un côté je ne peux pas lui en vouloir, lui non plus n’a pas choisit d’être mafieux, il l’est devenu par la force des choses… mais merde quoi il était forcement obligé de me lier a son histoire là ? Tout ça parce que je suis le premier né de la famille et qu’en plus je suis un garçon, je dois donc faire honneur a mon nom, celui que mon paternel a eu l’insigne honneur de me légué. Pas de chance, c’est bien ce que je dis et ce que je dirais encore longtemps.

Passant par curiosité devant la boutique ou j’officie en tant que « civil » -car oui, rester à la maison lorsque je n’avais pas de missions était pour moi une chose impensable, aussi je m’étais dégoté un travail honnête – je vis que l’eau était encore a même le sol, souillant les tapis et les pauvres sacs qui n’avaient pas été suffisamment en hauteur pour être sauvés de le montée des eaux. Impressionnant comme les traces de cette pluie marquent les murs et les pavés, l’eau est montée haut tout de même ! Incroyable. J’espère qu’une telle chose ne se reproduira pas de sitôt. Bref, tournant les talons, je marchais dans une direction totalement aléatoire, le nez lever vers le ciel, sans me rendre compte que je quittais peu à peu les quartiers fréquentés abondamment pour me dirigé instinctivement vers les usines désaffectées en bordures de ville. Réalisant au bout de plusieurs longues minutes mon erreur, je m’apprêtais d’ailleurs à faire manu militari demi-tour, seulement quelque chose attira mon attention.

A une trentaine de mètres de moi, je vis des types a l’allure tout sauf fréquentables en train d’importuner une demoiselle. Je n’allais pas rester ici sans réagir, cela n’aurait pas été correct et il fallait bien que ces gars soient remit à leur place par une tierce personne non ? Puisque manifestement ils n’avaient pas assez de jugeote pour comprendre la gravité de leur action et que j’étais soudainement mue par une volonté de protection, je me dis intérieurement qu’il fallait que j’intervienne. Non pas que j’ai un physique de videur de boite de nuit, loin de là, mais j’ai tout de même une petite force non négligeable voyez-vous ?

Je les file, ils sont entrés dans l’un des bâtiments qui me fait face. Une bouffée de courage rare s’empare alors de ma personne tandis que je défonce la porte d’un coup de pied. Celle-ci tombe à terre, me permettant d’assister à un spectacle d’un genre bien désagréable. Des corps, des cadavres et du sang… tout cela me rappelle tellement de mauvais souvenirs… Non, pas encore, je ne veux pas ! Pourtant, en voyant se liquide rouge se déverser a même le ciment sale de l’endroit, je ne peux m’empêcher d’interpeller la responsable de tout ça –du moins je présume qu’il s’agit d’elle-, une gamine aux cheveux roses. Pourquoi cela me rappelle-t-il quelqu’un ? Difficile à dire.
    « Hey toi, pourquoi tu les as tué ? La prison tu ne connais pas ?! »
Voici ce que je lui avais lancé au visage en protégeant comme je le pouvais la demoiselle à côté de moi, maintenant hors d’atteinte de ce voyous mais sans doute face à un danger encore bien plus grand…
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MessageSujet: Re: My dear blood... [PV Appollo & Nelia]   My dear blood... [PV  Appollo & Nelia] Icon_minitimeVen 13 Jan - 6:22

    Non è proprio una storia triste.


Les rires des enfants résonnent dans la salle, donnant l'impression qu'on pourrait les voir si l'on fermait les yeux et les toucher si on l’espérait assez fort. On s'attend à ce que, dés lorsque l'on ouvre un placard, un garnement nous saute dessus pour nous étrangler de câlin ou d'autres actions fortes sympathiques. Oui, l'Italie était un pays ensoleillés et plein de joie de vivre, qui pourrait croire qu'il est le berceau d'une mafieuse bien particulière et surtout, la base de certaines des plus grandes familles mafieuses ? Personne, et c'est ce qui faisait rire la brune qui était entrain de se balancer sur sa chaise tout en regardant à travers la vitre de sa chambre d'hôtel.

Nelia était habillait d'une façon fort normal pour cette époque, un jeans qui lui collait à la peau et que les gens de nos jours nomme slim ainsi qu'un t-shirt à manche courte de couleur bleu claire avec un chat -ou du moins quelque chose qui ressemble à un chat- beige dessiné dessus. C'était normal, naturel, alors rajouté à ça des chaussures que l'on nomme converse de couleurs rouges et une montre argenté ainsi qu'un bracelet sur son poignée droit, et voilà, vous avez une Nelia habillait pour une journée qui se doit d'être normale pour la simple raison qu'elle a promis de ne pas se faire remarquer avant de savoir si d'autres étaient venus .. De son époque.

Alors Nelia se balançait doucement sur sa chaise à bascule, mordant un mikado dans sa bouche, se tenant les jambes en l'air avec ses bras, et tout cela en soufflant avec son nez sur une mèche de cheveux rebelle. Oui, Nelia faisait douze milles choses à la fois sans s'en rendre compte, elle est pas belle la vie ?

Après avoir terminé sa petite scène, elle se leva et se dirigea envers la direction de la télé, prenant la télécommande dans sa main et cherchant comment elle fonctionne. Ne trouvant pas, elle décida de stopper ses recherches pour sortir faire un tour en ville et voir tout ce qui avait changé depuis ses quelques centaines d'années. Certes, elle aurait pu aller demander à un historien ou autres, mais cette question aurait semblé bizarre et elle avait promis de ne pas se faire remarquer. Elle s'était donc jurée de ne pas utiliser sa flamme sauf en cas d'extrême urgence et donc, si elle n'avait aucun autre moyen devant les yeux ou qui ne lui venait pas à la tête. En gros, elle n'utiliserait pas son anneaux jusqu'à nouvelle ordre car elle trouvait toujours un moyen de s'en sortir … Ou presque toujours.

Elle se dirige vers la porte, l'ouvrant et la refermant derrière elle, elle se dirige un peu partout dans les couloirs de l'hôtel, observant tout les détails, se disant qu'avant, on dormait dans des tavernes ou dans la rue mais non dans des lieux comme celui-ci. En faite, pour elle, tout ceci était si étrange … Elle ne comprenait pas pourquoi les chats avaient des petites caisses pour faire leurs besoins alors qu'à son époque, ils allaient dehors et ça n'embêtait personne ! Alors pourquoi diable en possédaient-ils maintenant ? Certes, cette question semblait bizarre, mais elle était stressante aux yeux de la brune.

& puis Nelia sortit de l'hôtel, voulant allait faire un tour. On ne lui dit rien, personne ne prêtait attention à elle et elle ressemblait à n'importe qui de cette époque, vraiment, Nelia arrivait à se fondre dans la foule avec une aisance hors-normes que certaines personnes ne peuvent pas posséder à cause d'une timidité, peur ou même phobie ou plus encore. Elle arrivait tellement bien à se fondre dans la foule qu'elle crut qu'on l'avait confondu avec quelqu'un.

En effet, on venait de lui attraper le bras tout en ayant dit un « poupée ». Bien sûr, dans le cerveau si pur et magnifique qu'est celui de Nelia, c'était juste qu'on l'avait prise pour quelqu'un d'autre et le mot était un surnom affectueux des jeunes de cette époque. Alors elle s'était laissé faire, attendant que la personne lui dise un « excusez moi, je vous ai pris pour quelqu'un d'autre » ou tout autre forme de politesse que pouvait-avoir les Hommes de cette époque.

Et bien non, rien.
Strictement rien.

Pour qui se prenait ces gars ? Sérieusement, n'existait-il donc pas un peu de politesse dans cette époque ? Un « pardon » n'aurait pas était de trop dans cette situation, et ça, il fallait le dire. Alors lorsque la brune voulut parler, elle ne put même pas placer un mot qu'on la conduisait elle ne savait trop où, et bien sûr, elle ne risquait pas de le savoir avant d'y être arrivée vu qu'elle n'avait pas le droit de se faire remarquer et qu'elle avait noté qu'aucune femme de cette époque ne mettait une raclée aux hommes quand ils les conduisaient elle ne savait trop où.

Pour qui se prenaient-ils ? Sûrement pour des « beaux gosses » à qui on ne refuse rien doublé d'une certaines manière de « de toute façon je mets ma cagoule quand y a du soleil et j'fais du rap même quand j'en fais pas, wesh ! » et d'autres petits trucs dans ce genre … Bref, tout ce qu'il y avait bien énervant. Très énervant. Très, très énervant, surtout pour une femme marié à l'homme parfait -haha, chacun son point de vue, hein?- donc bon, l'idée de tromper son Enrico n'avait même pas effleuré l'idée de la jeune parraine.

Alors oui, on pouvait dire qu'elle était simple d'esprit, néanmoins, elle n'était pas idiote au point de dire « De toute façon je suis mariée avec un homme qui est dans le passé ! » car de toute façon, ça lui aurait trop fait mal de dire qu'Enrico était là-bas … Avec son propre enfant. Oui, ça faisait mal et vu qu'elle était là depuis peu de temps, elle n'osait pas encore se dire qu'elle était seule : toute seule.

Alors quand elle arriva devant une sorte d'entrepôt qui semblait vide et hors fonction, elle voulut vérifier si quelqu'un d'autre à part eux était là … Histoire de savoir si elle pouvait, ou non, utiliser sa flamme histoire de mettre une bonne raclée à ces énergumènes pour ne plus qu'ils recommencent et qu'ils deviennent de gentils bisounours qui ferraient de sympathique câlin à tout le monde histoire de montrer qu'ils sont gentils et qu'ils feront plus de mal à une mouche. L'espoir fait vivre, non ? La preuve est ici même.

Alors elle observa, un tout et un rien, elle ne vit personne … Personne ? Et c'était quoi cette tignasse rosée qu'elle venait de voir passer ? Était-elle devenue folle ? Serait-ce un fantôme … ? Non … Serait-ce … Un barbapapa ? Ou alors, ça pouvait juste être une de ces jeunes qui s'étaient teints les cheveux en rose fluo pour montrer qu'elle existe. Le truc,c 'est que sur ce coups là, son existence gênait Nelia qui venait de se faire entraîner dans le bâtiment … La pauvre, elle était bel & bien coincée.

Aucune sortie ?

C'est ce qu'elle avait crue, néanmoins, lorsque les idiots dragueurs s'étaient mis à rire comme de imbéciles et qu'ils avaient entouré la femme, elle avait entendu le bruit de la lourde porte métallique qui venait de bouger, bien sûr, elle ne fut pas la seule, et qui plus est, certains des adolescents avaient vus la personne qui se tenait à la porte : la rosette. Oui, la fille à la tignasse rose se tenait devant la porte comme si de rien n'était, un sourire hautain sur son visage.

Et puis tout se passa vite, très vite. Elle ne comprit pas, elle ne comprit rien, strictement rien. D'ailleurs, la seule chose dont elle eut le temps de se souvenir fut cette couleur rose flache s'étant avancé rapidement en direction des drôles de types. Elle ne comprit presque rien, ou du moins, eu de mal à suivre.

Oui, Nelia venait d'assister à une scène de meurtre sans même le savoir directement, trop choquée par le fait qu'une personne qui semblait si pure puisse tuer avec tant d'agilité et de facilité.

& puis tout se stoppa, la voix d'un homme résonna rapidement dans la salle. Sur ce coup là, elle comprit qu'elle allait pouvoir peut-être se défendre car le brun ne faisait pas partie du « gang » et qu'en plus, il semblait être .. Juste. Oui, la justice est magnifique, si belle, si sincère : le monde entier devrait être juste.

Bien sûr, Nelia ne sut absolument pas quoi dire après la phrase du brun, oui, elle restait sans voix la pauvre. Il faut dire que ce n'était pas tout les jours qu'elle tombait sur ce qui semblait être une étudiante dans la quinzaine d'années entrain de tuer sans aucune raison. Se devait-elle de lui apprendre les bonnes manières et le fait que tuer c'est mal ?

E 'solo un epica un po' diverso.
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